Les articles du SML

Pour gagner la bataille de la consultation à 50 euros, nous n’avons pas d’autre choix que de nous mobiliser collectivement.

Raison n°1 : Parce que l’inflation l’impose | Avec une progression de 6,2 % cette année et au moins de 4 % en 2023, l’inflation conduit à une érosion mécanique de la valeur de nos honoraires, déjà au-dessous de la valeur européenne. Nous avons augmenté nos collaborateurs pour pouvoir les garder. Nous payons des frais fixes de plus en plus lourds, à commencer par l’électricité.

Les SML a apporté son soutien, le 17 novembre, aux jeunes et aux étudiants en médecine dans leur combat contre la coercition à l’installation et une quatrième année d’internat médecine générale mal construite.

Les sénateurs ont copieusement retouché le projet de budget de la Sécu pour 2023.

La Cnil a appelé le Gouvernement à mettre en œuvre un cadre juridique pour la collecte des données de santé par les complémentaires.

En plein débat sur la fin de vie, le Conseil Constitutionnel a rendu une décision qui entérine la possibilité pour un médecin de ne pas exécuter les directives anticipées d’un patient s’il estime qu’elles sont « manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale ».

Le SML l’a redit en ouverture des négociations mercredi dernier, la future convention doit permettre un accord gagnant-gagnant entre la profession et l’Assurance maladie au bénéfice des patients.

Lors de la séance inaugurale des négociations conventionnelles, le SML a prévenu la CNAM que les revalorisations pour tous les médecins étaient incontournables dans un contexte d’inflation.

Le SML a demandé à la CNAM des gages sur l’augmentation de l’ASV et la confirmation du secteur 2 pour les docteurs juniors. Pour l’ASV, le Gouvernement devra sortir un décret.

Cette fois-ci, la CNAM ne dispose d’aucun argument valable pour s’opposer à une revalorisation massive des consultations, à moins de vouloir humilier les médecins.

Retourner en haut