Les changements perpétuels des Ministres de la santé rendent particulièrement ardu le travail syndical. Certains dossiers se voient reporter sine die (soins palliatifs, aide active à mourir…)
Nous espérons que les attaques constantes contre le secteur 2 (conféré article supra ci-dessous) cesseront et que le nouveau gouvernement le reconnaîtra comme une variable indispensable à l’attractivité de la profession particulièrement malmenée au prétexte d’une difficulté géographique d’accès aux soins pour laquelle le SML a proposé un bouquet de solutions permettant de passer le trou démographique dans de meilleures conditions.